Ciel ocre et drôle d’humidité, j’écoute Drumming the Beating Heart d’Eyeless in Gaza. Pas le meilleur album du duo de Nuneaton, pas le pire non plus. Le précédent Pale Hands I Loved So Well était un parfait exemple d’improvisation brinquebalante, le suivant Rust Red September sera presque impeccable dans un genre quasi pop. Celui-ci est entre les deux, pas vraiment parfait dans l’approche bricolo avant-gardiste mais avec des structures frôlant le classique et cette impression d’avoir à faire à de courts croquis de chansons. Jolis croquis, percussions en « cliquetis », guitare étouffée, minimalisme de bon aloi et puis cette voix que voulez-vous…
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