18 mai. Échoué au Monténégro sur les lèvres des Bouches de Kotor, c'est donc ici qu'il me faut « célébrer » le trente-sixième anniversaire du bien inopportun trépas de Ian Curtis. Je le fais par habitude et sans grand entrain, mais je le fais tout de même, il faut savoir rester fidèle.
« Et les Bouches de Cattaro, où l’on n’en finit plus
De suivre toujours la mer au milieu des montagnes
Crénelées d’inaccessibles citadelles vénitiennes.
O Cattaro, petite boîte, petite forteresse qu’on donnerait
Pour les étrennes à un enfant (il n’y manque pas même
Le poste des soldats verdâtres à la porte) ;
Petite boîte de construction, mais toute pleine
D’une odeur de rose venue on ne sait d’où »
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