Ce soutif miraculeux-là est merveilleusement souple, avec tout le charme diapré de trois autres fameux bonnets B : Beatles (réputés), Badfinger (suspendus), Big Star (écroulés, en poire). Toute cette lingerie fonctionnant comme un bel engin à voyager dans le temps, voilà, bien vite, l’audionaute devant un merveille palpable, un miracle ferme, tendu et définitif. Un beau trip déplaçant 1998 en 1972, vers la fin de queue de comète d’une période dorée et le début de ce que l’on cataloguera, pour faire vite, comme galaxie Power Pop. Pas encore vraiment un truc post-moderne revivaliste, tout cela viendra plus tard, avec la chirurgie plastique.
P.-S. Le lecteur perspicace aura constaté la baise notable, tant quantitative que qualitative, de mes « participations ». Il faut dire que l'inspiration n’y est plus trop et que la lassitude a par contre une sérieuse tendance à vouloir lécher les rivages de ce bleugh. Rassurez-vous (?) je reviendrai, mais en attendant le factuel et le concis sont par ici.
Bien à vous.
P.-S. Le lecteur perspicace aura constaté la baise notable, tant quantitative que qualitative, de mes « participations ». Il faut dire que l'inspiration n’y est plus trop et que la lassitude a par contre une sérieuse tendance à vouloir lécher les rivages de ce bleugh. Rassurez-vous (?) je reviendrai, mais en attendant le factuel et le concis sont par ici.
Bien à vous.
2 commentaires:
Je viens de me tapper la moitié des archives en partant de 2005.
Bravo. Comment tu fais pour ne pas looser ton edge. Pas de sport.. C'est peut être ca
Merci aussi. Continu. je suis impressionné.
Buck
"Channelling the ghosts of late-period Beatles, Badfinger and Big Star with almost eerie accuracy, Myracle Brah's debut captures the sound and spirit of the classic power pop era to perfection."
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