Dans son recueil de chronique « Nightclubbing » Alain Pacadis parle d’un film de Michel Bulteau Mainline :
« Bulteau et quelques amis se sont entre-filmés, en train de se piquer. Inutile de dire, qu’après une série de plans tout à fait nets (le long apprêt du bras, la pavane de la seringue s’approchant et l’aiguille tirant sa langue de feu, la tension d’un visage blanc au yeux fixes, aux dents serrées, la camera, substance inoculée fait son effet, est de plus en plus imprécisément maniée, et l’image de plus en plus involontairement abstraite »
le bouquin regorge de papiers sur Garrel, Arrieta le cinéma porno, le porno gay sm 70s … Tout ça pour dire comme l’autre que le cinéma c’est la mort au travail, et que la mort et la pornographie dans tous ses aspects ben c’est quand même un brin la même chose.
«Les reflets de la chair dans MAINLINE me font songer à des méduses qui se meuvent ensemble.» Henri Michaux.
« Bulteau et quelques amis se sont entre-filmés, en train de se piquer. Inutile de dire, qu’après une série de plans tout à fait nets (le long apprêt du bras, la pavane de la seringue s’approchant et l’aiguille tirant sa langue de feu, la tension d’un visage blanc au yeux fixes, aux dents serrées, la camera, substance inoculée fait son effet, est de plus en plus imprécisément maniée, et l’image de plus en plus involontairement abstraite »
le bouquin regorge de papiers sur Garrel, Arrieta le cinéma porno, le porno gay sm 70s … Tout ça pour dire comme l’autre que le cinéma c’est la mort au travail, et que la mort et la pornographie dans tous ses aspects ben c’est quand même un brin la même chose.
«Les reflets de la chair dans MAINLINE me font songer à des méduses qui se meuvent ensemble.» Henri Michaux.
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