Vaguement en passant la politique des auteurs c’est un vieux truc des années 60 qui trouvait justement ou était l’intime dans l’industrie ou étaient les pépites ou les grains de sables c’est comme on veut, pas trop de lien avec le cinéma d’auteurs ou les grands classiques du muet, la défense de Hawks était un enjeu pas si évident et majeur la défense d’Antonioni ou de Buñuel était elle évidente quoique les films Mexicains de ce dernier étaient au cœur d’une petite industrie aussi.
Hollywood c’était un peu comme un atelier de la renaissance d’ailleurs il y a beaucoup d’œuvres de cette dernière dont on ignore les vrais auteurs le maître ou ses multiples assistants et élèves ? ce qui compte toujours c’est l’inspirateur ses accents, la pâte intime d’ Hitchcock est omniprésente même à travers Saul Bass ou Bernard Hermann
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