jeudi 8 février 2007

Comment ne pas parler des livres que l’on n’a lus ?



162 pages achevées d’imprimer le premier décembre 2006 en Normandie à Lonrai, n°d’éditeur : 4335, le dépôt légal est de janvier 2007 (ce qui pose son livre !) Edité chez les « Editions de Minuit » 7, rue Bernard Palissy à Paris dans le sixième arrondissement, arrondissement que je ne connais pour ainsi dire pas ! Comme la ville de Lonrai en Normandie d’ailleurs … L’ouvrage coûte 15 euros ( l’euro est l’unité monétaire crée par l’Europe supposée politique afin de lutter économiquement dans un monde mondialisé mais pas l’alter …) Il y a un site Internet des « Editions de Minuit » ce qui prouve plein de choses et pas d’autres, et pose son éditeur … La collection « Paradoxe » de chez minuit est au même gabarit que la collection « Critique » il y a des auteurs communs entre les deux collections, mais la collection « Paradoxe » est moins lactescente d’ailleurs elle sent une drôle d’odeur comme de la tapisserie fraîchement collée, on imagine Deleuze posant de la tapisserie avec ses ongles si bizarres et tous ses trucs qui déguerpissent de son ciboulot comme par mégarde avec son chapeau tout bizarre aussi. Il y a toujours l’étoile avec le petit m (La marche à l'étoile) la typographie est plus petite que chez le raz du cou plombée-plombante (vous voyez … il est là … oui … là. posé) voilà.
La chronique des différentes manières de lire un livre, des situations merveilleuses où l’on se perd quand il faut ne pas en parler et des moyens à ne pas mettre en bataille pour ne pas se sortir d’affaire montre que, contrairement aux idées reçues, il est tout à fait impossible d’avoir un échange passionnant à propos d’un livre que l’on n’a lu et surtout avec un quidam qui l’a lu lui aussi et ce pour la simple raison qu’aimer un livre c’est parfois en tomber amoureux comme d’un nouvel être distinct, quasiment palpable, émotion personnelle et pas forcement partageable…. Et que le sentiment amoureux parfois ne s’étale pas au vent de la répartition et des avis, de la « discussion » et de toutes ces choses qui forment un monde bien loin du flottement, de la pure intuition et de la magie des cœurs qui se croisent et se reconnaissent.

NB : je m’empresse d’ajouter devant la foule engourdie que je ne suis absolument pas amoureux du livre évoqué plus haut, mais de Robert Walser oui …

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