lundi 1 novembre 2010

Remake / Remodel N°16



Un Steinway, des jukebox, Robert Johnson, des voitures qui roulent vite, des filles attachées, Bashung, un brushing, les mots bleus… Christophe Bevilacqua est chez Gonzaï et c’est très bien…

Rencontre avec le dernier des Bevilacqua


3 commentaires:

skorecki a dit…

très mégalo, l'ancien mari de michèle torr ... pour le meilleur ... et pour le pire ... il ne devrait jamais, jamais par exemple ... prononcer le mot blues (voir la catastrophe de réécriture de big joe williams, qui n'est pas quoi qu'il en pense l'essence du blues, mais sa négation blanche ...

Philippe L a dit…

C’est vrai j’oubliais ce Nuages d’Or qui plus que l’essence de quoi que ce soit est plutôt un cauchemar technologique par un petit blanc qui s’amuse avec ses machines… s’il n’y avait Big Joe Williams dans le fond ce ne serait pas un problème, mais il y est…

On peut aussi aimer Christophe pour d’autres choses pour son côté naïf qui fait son malin, pour les deux, trois vraies bonnes chansons qu’il laisse…

Le blues a souvent bon dos, tenez l’autre jour je suis tombé sur une pub à la TV : Eric Clapton l’essence du blues, un truc dans ce genre-là…

skorecki a dit…

les bonnes chanson dec. , je les aime moi aussi ... mais il se trouve que j'ai recontré le petit bonhomme vers deux heure du mat à une fête canal plus, après la projo de cinéphiles 3 ... l'attachée de presse est sa copine (et une fan) et elle nous a présenté ... il m'a d'abord dit qu'il adorait mes chroniques, avant de me réciter par coeur celle parue trois ou quatre jours plus tôt ... mais son amour pour ma littérature a un peu diminué quand je lui ai expliqué à quel point je ghaïssait son "utilisation" de big joe williams... il a parlé d'essence du blues, et autres conneries (développées plus tard dans une conversation avec bayon, autre petit blanc nerveux, qui voulait lui aussi me prouver que christophe comprenait l'essence du blues) ... voilà, c'est tout ... merci de comprendre ce que je dis ...