mardi 10 août 2004

Joy Division

le mythe de Ian curtis est un peu exaspérant, s’il y a quelques choses de bouleversant c’est la mort d’un jeune gars dévoré par ses sentiments dépassé par les événements le reste le mythe supposé tout le tremblement c’est de la littérature sordide pour midinettes, Curtis n’était pas un fils d’ actionniste viennois suicidé sur l’autel des 80S juste un type normal cherchant à contrôlé le peu d’anormalité qui l’accaparait , quand sur la deuxième face de Closer il parvient enfin à contrôler son chant ce qui est bouleversant c‘est ce sentiment latent de libération absolu de sérénité et d’apesanteur mêlés comme si la gravité quittait peu à peu l’espace confiné ou le disque s’écoute s'immisce en vous fait parti insidieusement de tout votre être voilà pourquoi sa mort est un gâchis voilà pourquoi elle est sinistre voilà pourquoi elle n’a rien de romantique, voila pourquoi elle est degeulasse et uniquement dégeulasse